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  • Les forêts anciennes sont des espaces boisés qui ont conservé leur vocation forestière depuis plus d'un siècle et demi. Déjà en place au milieu du XIXe siècle, ces forêts apparaissent sur les cartes de cette époque. Ces espaces sont susceptibles d'abriter des espèces emblématiques ou à caractère patrimonial. Une bonne connaissance de la localisation et des caractéristiques de ces massifs forestiers a donc nécessité de conduire une étude spécifique à l'échelle de six territoires de parcs. Celle-ci s'est basée sur des documents anciens (carte d'État-major, cadastre napoléonien, …) et sur l'inventaire forestier réalisé par l'IGN, afin de décrire – pour chaque territoire – les principaux aspects de l'évolution des paysages forestiers. Les données anciennes (carte d'État-major, cadastre napoléonien numérisés) ainsi que les données de l'inventaire forestier de l'IGN ont au préalable subi un traitement cartographique visant à agréger les polygones forestiers proches (distance inférieure à 75 mètres) et à éliminer ceux de très petite surface (2,25 ha pour un croisement avec la V2, 0,5 ha pour la V2).

  • Les forêts anciennes sont des espaces boisés qui ont conservé leur vocation forestière depuis plus d'un siècle et demi. Déjà en place au milieu du XIXe siècle, ces forêts apparaissent sur les cartes de cette époque. Ces espaces sont susceptibles d'abriter des espèces emblématiques ou à caractère patrimonial. Une bonne connaissance de la localisation et des caractéristiques de ces massifs forestiers a donc nécessité de conduire une étude spécifique à l'échelle de six territoires de parcs. Celle-ci s'est basée sur des documents anciens (carte d'État-major, cadastre napoléonien, …) et sur l'inventaire forestier réalisé par l'IGN, afin de décrire – pour chaque territoire – les principaux aspects de l'évolution des paysages forestiers. Les données anciennes (carte d'État-major, cadastre napoléonien numérisés) ainsi que les données de l'inventaire forestier de l'IGN ont au préalable subi un traitement cartographique visant à agréger les polygones forestiers proches (distance inférieure à 75 mètres) et à éliminer ceux de très petite surface (2,25 ha pour un croisement avec la V2, 0,5 ha pour la V2).

  • Des zones dites " réserves intégrales " peuvent être instituées dans le coeur d'un parc national afin d'assurer, dans un but scientifique, une protection plus grande de certains éléments de la faune et de la flore. Des sujétions particulières peuvent être édictées par le décret qui les institue. Les réserves intégrales sont établies en tenant compte de l'occupation humaine et de ses caractères. A ce jour il existe deux réserves intégrales dans les parcs nationaux : - la réserve intégrale du Lauvitel créée en 1995 sur les hauteurs de la commune de Bourg d'Oisans - la réserve intégrale des îlots de Port-Cros créée en 2007 ( île de Bagaud, rocher du Rascas, îlot de la Gabinière)

  • Les forêts anciennes sont des espaces boisés qui ont conservé leur vocation forestière depuis plus d'un siècle et demi. Déjà en place au milieu du XIXe siècle, ces forêts apparaissent sur les cartes de cette époque. Ces espaces sont susceptibles d'abriter des espèces emblématiques ou à caractère patrimonial. Une bonne connaissance de la localisation et des caractéristiques de ces massifs forestiers a donc nécessité de conduire une étude spécifique à l'échelle de six territoires de parcs. Celle-ci s'est basée sur des documents anciens (carte d'État-major, cadastre napoléonien, …) et sur l'inventaire forestier réalisé par l'IGN, afin de décrire – pour chaque territoire – les principaux aspects de l'évolution des paysages forestiers. Les données anciennes (carte d'État-major, cadastre napoléonien numérisés) ainsi que les données de l'inventaire forestier de l'IGN ont au préalable subi un traitement cartographique visant à agréger les polygones forestiers proches (distance inférieure à 75 mètres) et à éliminer ceux de très petite surface (2,25 ha pour un croisement avec la V2, 0,5 ha pour la V2).

  • Les forêts anciennes sont des espaces boisés qui ont conservé leur vocation forestière depuis plus d'un siècle et demi. Déjà en place au milieu du XIXe siècle, ces forêts apparaissent sur les cartes de cette époque. Ces espaces sont susceptibles d'abriter des espèces emblématiques ou à caractère patrimonial. Une bonne connaissance de la localisation et des caractéristiques de ces massifs forestiers a donc nécessité de conduire une étude spécifique à l'échelle de six territoires de parcs. Celle-ci s'est basée sur des documents anciens (carte d'État-major, cadastre napoléonien, …) et sur l'inventaire forestier réalisé par l'IGN, afin de décrire – pour chaque territoire – les principaux aspects de l'évolution des paysages forestiers. Les données anciennes (carte d'État-major, cadastre napoléonien numérisés) ainsi que les données de l'inventaire forestier de l'IGN ont au préalable subi un traitement cartographique visant à agréger les polygones forestiers proches (distance inférieure à 75 mètres) et à éliminer ceux de très petite surface (2,25 ha pour un croisement avec la V2, 0,5 ha pour la V2).

  • Les forêts anciennes sont des espaces boisés qui ont conservé leur vocation forestière depuis plus d'un siècle et demi. Déjà en place au milieu du XIXe siècle, ces forêts apparaissent sur les cartes de cette époque. Ces espaces sont susceptibles d'abriter des espèces emblématiques ou à caractère patrimonial. Une bonne connaissance de la localisation et des caractéristiques de ces massifs forestiers a donc nécessité de conduire une étude spécifique à l'échelle de six territoires de parcs. Celle-ci s'est basée sur des documents anciens (carte d'État-major, cadastre napoléonien, …) et sur l'inventaire forestier réalisé par l'IGN, afin de décrire – pour chaque territoire – les principaux aspects de l'évolution des paysages forestiers. Les données anciennes (carte d'État-major, cadastre napoléonien numérisés) ainsi que les données de l'inventaire forestier de l'IGN ont au préalable subi un traitement cartographique visant à agréger les polygones forestiers proches (distance inférieure à 75 mètres) et à éliminer ceux de très petite surface (2,25 ha pour un croisement avec la V2, 0,5 ha pour la V2).

  • Les forêts anciennes sont des espaces boisés qui ont conservé leur vocation forestière depuis plus d'un siècle et demi. Déjà en place au milieu du XIXe siècle, ces forêts apparaissent sur les cartes de cette époque. Ces espaces sont susceptibles d'abriter des espèces emblématiques ou à caractère patrimonial. Une bonne connaissance de la localisation et des caractéristiques de ces massifs forestiers a donc nécessité de conduire une étude spécifique à l'échelle de six territoires de parcs. Celle-ci s'est basée sur des documents anciens (carte d'État-major, cadastre napoléonien, …) et sur l'inventaire forestier réalisé par l'IGN, afin de décrire – pour chaque territoire – les principaux aspects de l'évolution des paysages forestiers. Les données anciennes (carte d'État-major, cadastre napoléonien numérisés) ainsi que les données de l'inventaire forestier de l'IGN ont au préalable subi un traitement cartographique visant à agréger les polygones forestiers proches (distance inférieure à 75 mètres) et à éliminer ceux de très petite surface (2,25 ha pour un croisement avec la V2, 0,5 ha pour la V2).